Nous avons tous été confronté un jour à une situation dans notre vie où nous avons pris une décision contre notre prochain en se disant « je ne vais plus lui adresser la parole, je m’en fiche, je n’ai pas besoin de lui dans ma vie » ou « ce qui lui arrive ne me regarde pas » ou encore « s’il vient, il n’a qu’à faire le premier pas ».
Mais savons-nous ce que cela nous coûte d’avoir une telle attitude ?
Il ne s’agit pas de tout laisser faire ou de tout tolérer, mais de savoir comment amorcer la situation.
Savons-nous combien de fois nous avons offensé Dieu ?
Savons-nous combien de fois Dieu nous a pardonné ?
Si lui, qui nous a créé à sa ressemblance, arrive à nous pardonner à chaque fois, comme un père, pourquoi toi et moi ne le ferions-nous pas à notre tour, car le pardon libère !
Comment pourrais-tu prier Dieu quand tu es fâché avec ton prochain ?
Finalement, la vie n’ est que vanité !
Le Seigneur nous demande d’aimer notre prochain comme nous même puisque lui aussi nous aime.
Je sais, « on peut dire qu’on ne peut pas aussi tout accepter ». Oui c’est cela être enfant de Dieu, chose pas facile mais être chrétiens, c’est un défi, un dépouillement de soi même, une mise à l’épreuve de sa foi.
Comment voudrais-tu que Dieu te pardonnes si toi tu ne sais pas pardonner aux autres ?
Comment pensez-vous que les premiers chrétiens ont vécus toutes ces choses car elles existaient déjà ?
Quels chrétiens sommes-nous devenus aujourd’hui, emportés par le monde avec toutes ces facettes, où est donc passée notre morale chrétienne ?
On veut imiter le monde alors qu’en acceptant Christ dans notre vie, nous devons lui ressembler, ce ont toutes ces choses qu’il nous a enseigné.
Que le Seigneur nous aide.
AMEN